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"« Ce huitième opus de toute beauté est délicat et poétique, il évoque le farniente au soleil, les danses chaudes et langoureuses. Agathe Bonitzer prête sa voix sur Quelle magie de vivre. Le voyage est confortable en ces compagnies musicales de bonne facture et l'on s'abandonne à rêver, enveloppés de cette douceur ineffable. »

[Annie-Claire Hilga pour Francofans, juin 2022]

https://www.accfa.fr/francofans/

« Andréel écrit des textes de haute volée, exprime en chansons des sentiments et des visions de la vie, scrute le monde avec suspicion mais parvient à en décrire les avanies avec tact et subtilité.

Avec lui, il n’est pas question de dénoncer la méchanceté du monde avec la colère aboyeuse et grossière du rap ; pas question de parler d’amour avec vulgarité ou niaiserie ; pas question de faire de la poésie de bazar ou de la musique d’ascenseur. Andréel est une sorte de survivant de synthèse de la grande époque de Gainsbourg, Ferré, Brel, Brassens ou Aznavour. Il n’a pas connu cette ère dorée mais il la reconstitue avec une authenticité captivante.»

[François Becquart pour Music in Belgium, mai 2022]

https://www.musicinbelgium.net/reviews/andreel-mr-bizarre/?fbclid=IwAR3YT1Dw0XSQ9Hk_Hz2eaZ1_lxiDjamtO_nID25ijwnoaPKRZsIVLP0p3nc

« Andréel est un des meilleurs auteurs et compositeurs que l’on connaisse et l’on ne s’explique pas qu’il ne soit pas plus reconnu parmi les personnes qui comptent et font vivre la chanson et pop française aujourd’hui. Saluons ses arrangements à l’ancienne, ses textes à la poésie saisissante. Et l’on aime bien aux détours des morceaux ces embardées voyageuses de la Seine vers la Baie de Rio. L’auteur-compositeur est tombé amoureux de la musique populaire brésilienne...»

https://www.justfocus.fr/musique/actualites-musique/andreel-devient-monsieur-bizarre-pour-son-nouvel-album.html?fbclid=IwAR3pnOX_vc67fqZmUPjAJBOoKp9vLg4NsqTfWAhfdrAkGMOqA98ENLn8u6Y

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« L’année 2020 et ses confinements aurait-elle incité à ralentir le rythme effervescent de nos vies ? C’est en tout cas l’impression que nous donne Andréel dans son nouvel album Tu m'apprends, où le temps semble s’être arrêté. Onze chansons qui mêlent nonchalance et soif de vivre l’instant présent. L’ambiance globale du disque baigne dans une douceur mélancolique, entre jazz et bossa nova, entre ballade et rumba. Le titre Les gens qui chantent appelle au lâcher prise, avec son clip à l’humour décalé. »

[Jean-François Convert pour Franceinfo culture, janvier 2021]

https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/chanson-francaise/andreel-sort-tu-m-apprends-un-nouvel-album-et-des-duos-qui-invitent-a-la-flanerie_4257677.html

«Accoudé au bar, Andréel est ce type qui sourit mystérieusement, invitant du regard à le rejoindre pour un petit pas de n’importe quoi, du moment qu’il soit tendre et nonchalant.»

[Nathalie Bachelerie pour Froggy's delight, février 2021]

http://www.froggydelight.com/article-24315-Andreel.html

«Ouvrir un disque par la chanson-titre inspirée par la lecture des Nourritures terrestres, de André Gide n’est pas le geste le plus évident, ni le plus commercial. Qu’importe !»

[Francois Cardinali pou Chant...songs, janvier 2021]

https://chantssongs.wordpress.com/2021/01/24/andreel-ou-lelegance-du-partage/

« Cet album sensuel et voluptueux est plus qu’un Kama sutra. Plutôt un parcours initiatique d’un homme dont le seul but est de vous satisfaire, Mesdames, et de se perdre en vous, une recherche du graal féminin, et plus largement, de la beauté de la vie et de ses nourritures terrestres, qui commencent par la chanson, la danse et bien sûr l’amour »

[Catherine Laugier pour Nos Enchanteurs, le quotidien de la chanson, janvier 2021]

http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2021/01/16/andreel-explorateur-du-continent-feminin/

 

« Cet album d’Andréel pourrait marquer un tournant dans sa carrière avec des compositions toute en douceur intimiste. Tu m’apprends privilégie les ambiances poétiques pour un vrai shoot d’émotions que l’auditeur pourra retrouver sur scène, peut-être en 2021. »

[Stanislas Claude pour Publik'Art, octobre 2020]

https://publikart.net/le-chanteur-andreel-enchaine-les-beaux-duos-sur-son-album-tu-mapprends/?fbclid=IwAR0GxO8XUw1cehAicpBhklasEp_ORnF0_a8flJP-ZDeoKDQ2CxDHFqFjN14

 

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« Andréel de pose en homme impliqué, féministe. Mais il sait se faire plus léger, notamment en duo avec Lolita Chammah, dans Un moment excellent. L'étrangère est de fait un excellent prétexte à la divagation constructive, celle qui nous porte à la réflexion et nous pousse à devenir meilleurs, tout simplement humains »

[Malorie D'Emmanuele our Hexagone, printemps 2019]

https://hexagone.me/2019/09/andreel-letrangere/

 

« Sous ses mots d'amour et d'humanisme qui glissent comme autant de caresses, le propose d'Andréel se charge parfois d'acidité (Tu as de l'amour), voire de colère (Danse). On le découvre peu à peu, et ce n'en est que plus stimulant. Histoire d'un faux rêveur qui, sans chercher à s'imposer, finit par nous épater. »

[Valérie Lehoux pour Télérama, janvier 2019]

https://www.telerama.fr/musiques/letrangere,n6083487.php

 

« Tombé dans la musique populaire brésilienne, Andréel imprègne son album d’une chaleur bienveillante, comme une main tendue, un sourire anonyme, une lueur dans le noir. Il porte un peu des malheurs du monde sur ses épaules, et avec sa musique, l’allège de ses connards et connasses colporteurs de préjugés et de critères sélectifs. 'On brûlera nos gants, on vivra nus et grands, on ira se laver à l’huile des cocotiers'  ("Un moment excellent"). Bouge pas, j’arrive.

[Nathalie Bachelerie pour froggydelight, janvier 2019] »

http://www.froggydelight.com/article-21566-Andreel

 

« En jouant toujours sur l'ironie, Andréel se moque de l'air du temps comme dans Danse où il met dans le même sac les marchands de sommeil et les avocats d'affaires. 'Demain il faudra/ Bien sonner le glas/De la pauvreté et de l'argent roi.' dit-il sans élever le rythme avant d'appeler les 'lutteurs de tous pays' à mener le bal. « 

[François Cardinali pour Chantssong, janvier 2019]

https://chantssongs.wordpress.com/2019/01/07/andreel-la-violente-douceur/

 

« Sensualité musicale oblige, c'est la féminité qui en dernier recours illumine le disque »

[Nicolas Brulebois pour Hexagone, été 20217]

http://hexagone.me/2017/09/andreel-que-du-feu/

 

« Attention, Andréel n’est pas un sirupeux gluant pressé d’endormir son public avec ses déclarations d’amour éternel sous le soleil, il sort la trompette pour envoyer un bien joli vent aux courbettes et aux politiques »

[Nathalie Bachelerie pour froggydelight, mars 2017]

https://www.froggydelight.com/article-18761-Andreel.html

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